"Ô ma bonne mère Sainte-Anne, patronne des Bretons et de notre nation. Toi, la mère de Marie, la bienheureuse pleine de grâce." Toi, la grand-mère de Jésus et notre douce grand-maman. Toi, qui aimes, qui accueilles et ne juges pas, je viens poser ma tête à tes genoux et déposer à tes pieds mon coeur d'enfant qui a grandi trop vite, mes peines, le fardeau du jour et l'angoisse de la nuit. Dans l'espérance et dans la foi, je te confie tous ceux que j'aime, tous ceux que je n'aime pas assez, tous ceux qui souffrent dans leur corps, leur coeur, leur âme et leur esprit. Intercède pour nous, pèlerins de la terre, et guide-nous, par l'exemple des vertus de ta maternelle bonté, vers l'amour éternel et trinitaire de ton petit-fils, afin que nous puissions avec toi lui rendre grâce et témoigner dès aujourd'hui et pour les siècles sans fin : "Elle est vivante sa Parole" Amen. (André Bisaillon, neuvaine à Ste-Anne de Chicoutimi, juillet 2012)
Au cas où vous ne le sauriez pas, Sainte Thérèse est connue comme la Sainte des petites choses, c'est-à-dire qu'elle croyait que les petites choses de la vie devaient être bien faites et avec beaucoup d'amour ... Elle est représentée par des roses. Puisses-tu avoir la paix intérieure aujourd'hui. Puisses-tu avoir la certitude que Dieu t'as placé exactement où tu devais être. Puisses-tu ne pas oublier les possibilités infinies qui émanent de la foi. Puisses-tu utiliser ces cadeaux que tu as reçus et transmettre l'amour qui t'as été donné. Puisses-tu être heureux de savoir que tu es un enfant de Dieu. Laisse cette présence s'enfoncer jusqu'au fond de toi, permet à ton âme de chanter. Danse, glorifie, aime. C'est là pour chacun de nous.
Je serai pèlerin Je marcherai. Je marcherai sous le soleil trop lourd, sous la pluie à verse et dans la tourmente. En marchant, le soleil réchauffera mon coeur de pierre, la pluie fera de mes déserts un jardin. À force d'user mes chaussures j'userai mes habitudes. Je marcherai, et ma marche sera démarche. J'irai moins au bout de la route qu'au bout de moi-même. Je serai pèlerin. Je ne partirai pas seulement en voyage, je deviendrai moi-même un voyage, un pèlerinage. Jean Debruynne
Seigneur, Aujourd'hui, je veux te parler franchement ! Je sais qu'on peut te louer par tous les temps, même sous le ciel gris et la pluie. Saint François d'Assise appelait cela posséder la joie parfaite. Mais tu ne crois pas que tes créatures de la terre te loueraient avec encore plus de joie, s'il faisait beau cet été, si les jours étaient ensoleillés et les nuits douces ? Tu ne crois pas que, si nous pouvions souvent veiller le soir sous la voûte étoilée, en famille ou entre amis, autour d'un beau feu de camp, environnés de lucioles, la louange de nos coeurs monterait plus facilement jusqu'aux cieux ? Notre prière s'élèverait alors spontanément vers Toi, remplie d'allégresse, comme un feu de camp brûlant tout joyeux dans le noir. Dans la confiance, je te remercie à l'avance d'écouter ma prière. Je te donne rendez-vous, dans la joie des coeurs, auprès de notre ami frère Feu. Bon été, Seigneur ! D'un de tes enfants qui aime la belle saison
Seigneur, tu m'as regardé, tu m'as aimé et tu m'as dit : "Suis-moi." Ta fidélité en amitié ne se dément pas, même si elle est parfois discrète. La mienne est ponctuée de tes pardons. Tu connais ma bonne volonté. Je veux marcher avec toi jusqu'au bout de ton chemin. Par l'action de ton Esprit, fais ta place dans mon coeur. Aide-moi à accueillir ta parole que tu offres si généreusement à ton Église. Aide-moi à entendre ce que tu me dis dans mes demeures intérieures. Aide-moi à saisir ton message dans mes rencontres et dans les événements. Dans la célébration de ton eucharistie, partage avec moi ce que tu portes en toi : le souci de celles et ceux qui manquent de pain, d'amitié, d'attention, de respect et de liberté. Nourris-moi de ton désir que tous les enfants de ton Père soient sauvés, même ceux et celles qui n'ont jamais entendu parler de toi ou qui t'ont oublié. Toi qui vis et règnes avec le Père et l'Esprit Saint, Jésus Sauveur. Amen ! Mgr Robert Lebel
Ô mon maître, Ne me prends pas pour esclave, car j'ai en moi le goût de la liberté. Ne cherche pas à deviner mes secrets, car j'ai en moi, le goût du mystère. Ne me contrains pas aux caresses, car j'ai en moi le goût de la pudeur. Ne m'humilie pas, car j'ai en moi le goût de la fierté. Ne m'abandonne pas, car j'ai en moi le goût de la fidélité. Sache m'aimer et je saurai t'aimer, car j'ai en moi le goût de l'amitié.
Seigneur, voilà déjà plusieurs années que Tu m'as fait ce don précieux de la vie. Comme Tu le sais, j'ai connu des joies et des succès, j'ai rencontré aussi des épreuves et des deuils. Quand je regarde ce que j'ai vécu, quand je pense à ce que Tu as été pour moi, je voudrais des mots tout neufs pour Te dire ma reconnaissance. Maintenant que j'ai le loisir de regarder davantage Ta création, fais-moi goûter la douceur du soleil, la beauté d'une fleur et toutes Tes merveilles: ces oeuvres de tes mains qui proclament ta gloire. Seigneur, garde la joie dans mon coeur. Quels que soient mes soucis et mes misères, accorde-moi de ne jamais me replier sur moi-même mais de penser plutôt à ceux qui m'entourent et qui ont besoin comme moi d'une présence fraternelle. Amen Tiré du livret "Je parle avec le Seigneur"
Aide-nous, Seigneur, à donner à nos corps un repos suffisant, à nos esprits le calme et la paix. Garde nos âmes et nos coeurs largement ouverts à tous nos frères et soeurs. Garde nos pas, Seigneur, afin que sur la route, à la mer, en montagne, nous soyons gardés de tout danger. Éclaire-nous, Seigneur, que nous soyons capables d'accueil et plus enclins à chercher ce qui unit que ce qui divise. Donne à ceux qui ne partent pas un peu de repos dont tu nous gratifies si largement. Et ramène-nous au sein de la communauté plus dispos et plus vaillants à travailler dans l'Amour.
Nous voici devant Toi, Seigneur, à bout de souffle, à bout de courage, à bout d'espoir. Perpétuellement écartelés entre l'infini de nos désirs et les limites de nos moyens bousculés, tiraillés, énervée, épuisés. Nous voici devant Toi, Seigneur, enfin immobiles, enfin disponibles. Voici la souffrance de notre insatisfaction. Voici la crainte de nous tromper dans le choix de nos engagements. Voici la peur de n'en pas faire assez. Voici la croix de nos limites. Donne-nous de faire ce que nous devons faire, sans vouloir trop faire, sans vouloir tout faire, calmement, simplement, humbles dans nos recherche et notre volonté de servir. Aide-nous surtout à te retrouver au coeur de nos engagements, car l'unité de notre action, c'est Toi, Seigneur, un seul amour à travers tous nos amours, à travers tous nos efforts. Toi qui es la source. Toi vers qui tout converge. Nous voici devant Toi, Seigneur, pour nous recueillir. Michel Quoist tirée de "Jésus-Christ m'a donné rendez-vous"
Aujourd'hui, Seigneur, j'ai 80 ans et j'ai encore tant à accomplir. J'espère, Seigneur, que vous me laisserez vivre jusqu'à 81 ans. Mais si alors je n'ai pas encore fait tout ce que je désire faire, voudriez-vous me laisser rester jusqu'à 82. Tant d'endroits où je voudrais aller, tant de choses à voir... Pourriez vous faire en sorte que j'atteigne 83. Le monde change si rapidement et nous réserve tellement de surprises que j'aimerais vivre jusqu'à 84. Et alors si je suis encore en vie pourquoi ne pas me rendre à 85 ? Plus d'avions voleront dans les airs, j'aimerais rester pour voir ce qui va se passer quand j'aurai 86. Je sais, cher Seigneur, que je demande beaucoup et que c'est sûrement agréable de vivre au ciel mais j'aimerais retarder mon départ jusqu'à 87. Je comprends qu'alors je ne marcherai pas vite et que je serai parfois en retard, mais ce serait si plaisant d'être encore là à 88 ans. J'aurai vu tellement de choses et me serai si bien amusé que j'en suis sûr je serais prêt à partir à l'âge de 89 ans... peut-être ! Auteur inconnu
On dit que les chiens sont les amis de l'homme. Personne ne sait ce qui se passe dans la tête d'un chien qui vous regarde vivre. Mais si un bon chien pouvait prier en nous voyant agir et en nous entendant parler, il dirait peut-être ceci: "Seigneur, toi qui règnes sur toutes les créatures, fais que l'homme, mon maître, soit fidèle envers mon prochain comme je le suis moi-même envers lui... Fais qu'il soit un gardien honnête des biens que tu lui as confiés comme je le suis des siens... Donne-lui la même patience que la mienne lorsque j'attends, sans me plaindre, sans retour... Seigneur, toi qui veux la perfection de chaque créature, donne à l'homme, mon maître, de se conduire toujours en homme, comme je me conduis toujours en chien... Seigneur, j'entends parfois les hommes dire qu'ils mènent une "vie de chien"... s'ils savaient comme je suis heureux d'être ce que je suis!... Je n'ai pas d'intelligence pour comprendre ce qu'ils comprennent, mais je n'ai jamais pensé à tuer quelqu'un pour être heureux... Quand je jappe, je ne détruis aucune réputation, je ne fais aucune médisance ou calomnie: je ne veux que protéger mon maître ou mes petits... Quand je me couche, je dors sans prendre de somnifère, et je n'ai jamais de cauchemar... Seigneur, je te remercie d'être ce que je suis!"
Seigneur, tant de jeunes autour de nous ignorent ton nom et ton amour. Les uns, indifférents, satisfaits, ne se soucient pas de toi. D'autres révoltés, sans joie, sans but, comme un troupeau sans berger, avancent sur une route sans issue. Qui leur montrera la vraie voie? Quelle parole les orientera vers toi? Aide-nous à être pour quelques-uns une lueur sur leur chemin, un jalon, un repère qui les conduira vers toi, vers Toi seul, recours de toute vie. Tiré du livret "Je parle avec le Seigneur"
Seigneur, Toi qui as eu pitié de tant de malades quand Tu vivais sur la terre, viens à mon aide. Viens apaiser ma fièvre, viens soulager mes blessures, viens calmer ma douleur. Donne à ceux et celles qui me soignent la science et la sagesse de me ramener à la santé. Guéris-moi, je t'en supplie. Mais, si dans Ta divine Providence, Tu juges qu'il vaut mieux pour moi que je ne guérisse pas, donne-moi la force de l'accepter dans la paix et dans la foi, jour après jour. Que ton Esprit ne me quitte pas, que ta main tienne toujours la mienne et que ton regard me réconforte sans cesse. Amen. Jules Beaulac, tiré du livret "Je parle avec le Seigneur"
Je te remercie, Seigneur, de ce que certains hommes aient accepté de devenir prêtres. Je te remercie, Seigneur, pour les défauts de nos prêtres... C'est parce qu'ils ne sont pas parfaits qu'ils peuvent mieux comprendre nos faiblesses... Des gens toujours en bonne santé... ça comprend mal les malades... Seigneur, nous te prions pour le ministère de nos prêtres. Fais qu'ils réussissent et qu'ils ne s'enorgueillissent pas trop. S'ils échouent, qu'ils ne se découragent pas. Je sais Seigneur, qu'on demande à nos prêtres d'être des phénomènes: ils doivent être des professeurs pour les enfants, des psychologues pour la jeunesse, des spécialistes en questions familiales pour les gens mariés, des savants pour répondre à toutes les questions, des gens indulgents au confessionnal, des saints à la messe... etc. J'oubliais qu'il fallait qu'ils soient à chaque dimanche des orateurs et sur semaine des comptables, des animateurs, des gens jamais fatigués et surtout toujours compréhensifs. Seigneur, fais que nous jugions avec indulgence ces spécialistes universels malgré eux... Fais que nous comprenions Seigneur, que si nos prêtres réussissent à être convenables par rapport à trois ou quatre spécialités, c'est déjà pas mal... Donne-moi, Seigneur, de leur pardonner leurs impatiences et même leurs erreurs. Donne-moi, Seigneur, de fournir à nos prêtres l'amitié sincère et désintéressée dont ils ont besoin pour remplir leur ministère. Enfin, Seigneur, permets-moi de ne jamais me décourager quand je prie pour les prêtres... c'est certain que je ne puis rien faire de mieux... et cela j'en suis certain, nos prêtres comptent sur nous pour cette tâche... et bien d'autres. Que cette prière remplie d'humour nous rappelle l'importance de notre appui à nos prêtres!
Père de qui provient toute paternité dans le ciel et dans la terre, Père qui es Amour et Vie fais que chaque famille devienne, par la grâce de Ton Fils Jésus-Christ et par la grâce de l'Esprit Saint, source de la divine charité, un vrai sanctuaire de la vie et de l'amour pour les générations qui sans cesse se succèdent. Fais que ta grâce inspire les époux dans leurs pensées et leurs actions pour le bien de leurs familles et de toutes les familles du monde. Fais que les jeunes générations trouvent dans la famille une aide efficace qui leur enseigne ce qu'est la condition humaine et les aide à grandir dans la vérité et l'amour. Fais que l'amour se manifeste plus fort que toute faiblesse et que toute crise qui marquent, parfois l'existence de nos familles, par Jésus, notre Seigneur, qui est la Voie, la Vérité et la Vie. Prière écrite par le Pape Jean-Paul II pour le Jubilé de l'an 2000
Chaque jour, Seigneur, tu nous confies de grandes choses: des enfants à aimer, des jeunes à entourer d'affection, des parents et des grands-parents à soigner. Tu nous confies un coeur déchiré à rapiécer, une peine d'amour à soulager, une faim à combler, une soif à apaiser. Tu nous confies un bonheur à partager, une fête à célébrer, une naissance à annoncer, une réconciliation à souligner. Tu nous confies un environnement à protéger, des collègues à respecter, des injustices à dénoncer, des malentendus à dénouer. Merci, Seigneur, pour ta confiance. Merci de nous aider à voir plus clair dans nos décisions. Merci de nous guider vers le bien véritable, pour que nous soyons, chaque jour, un peu plus dignes de cette confiance. Jean Grou
Seigneur, je viens d'avoir quinze ans. Ce n'est donc pas facile d'avoir quinze ans! Je suis tout mêlé: je ne sais plus d'où je viens et je ne sais pas trop où je vais. Je suis comme assis entre deux chaises Ce n'est pas trop confortable! Grandir, c'est une belle chose dans les livres, mais grandir dans la vie, ce n'est pas pareil. Quand tu as eu douze, treize ans, tu as fait ta petite crise d'adolescence, toi aussi. Tu te rappelles, au Temple de Jérusalem? Tes parents ne savaient plus comment te prendre; même ta mère t'a fait des remontrances! C'est un peu la même chose avec mes parents: ils ne me reconnaissent plus. J'étais un bon petit gars quand j'étais jeune, docile, obéissant, serviable. Maintenant que je me suis mis à grandir comme une échalote, je passe pour un enfant difficile, paresseux, égoïste, cachottier. Ça doit être ma crise d'indépendance! Mes parents et moi, on ne se comprend plus. Ce n'est pas facile de grandir! Je suis tout mêlé: à l'extérieur, je passe pour une tête enflée, mais en-dedans, je suis plein de craintes et d'inquiétudes. Je ne sais plus sur qui m'appuyer. J'ai des amis, bien sûr, mais je ne peux pas tout leur conter. Ce sont des "chums", des copains. Mais, je ne peux pas dire qu'on s'aime vraiment. J'ai la tête bourrée de questions, je suis plein de doutes, et je ne trouve pas beaucoup de réponses... J'ai un coeur qui voudrait aimer, aussi, et qui voudrait être aimé, mais je ne sais pas comment faire: je suis maladroit. On dirait que j'ai perdu le tour de vivre. Je commence à regarder les filles, mais je suis donc empêtré avec elles! Je ne veux pas qu'elles me prennent encore pour un p'tit gars, mais, d'un autre côté, je ne sais pas comment agir en homme. C'était si simple avant! Que c'est dur de grandir! Ce n'est pas facile d'être adolescent: assis entre deux chaises ce n'est pas confortable! Seigneur Jésus, toi qui as passé par là, tu sais ce que je vis, ce que je ressens. Tu es capable de m'aider à grandir. À travers toutes mes incertitudes, toutes mes insécurités, toutes mes angoisses, je sais que je peux m'appuyer sur toi; je sais aussi que tu me fais confiance quand même. Aide-moi à devenir un homme, un jeune homme qui a confiance en lui, dans les autres et en toi. Amen. Jules Beaulac Revue Je crois
Merci, Dieu Notre Père d'avoir fait la famille si belle. Tu as lié chaque membre pour qu'ils fassent ensemble un seul corps. Tu as besoin de nous et nous avons besoin de toi. Tu nous aimes et nous t'aimons. Tu nous pardonnes et nous voulons te comprendre. Avec toi nous travaillons et, avec, toi, nous grandissons. Nous écoutons le monde que tu as fait pour nous. Ensemble, nous te remercions, ensemble nous aimons ton Fils. Ensemble, nous voulons enrichir les autres. Ensemble nous voulons partager et nous ouvrir les uns aux autres. Ensemble, nous espérons bâtir une vie qui ne finira pas. C'est là notre foi, notre espérance, la route de notre vie de famille. Nous comptons sur la présence de ton Esprit qui guidera nos pensées et notre amour. Amen! Expérience de vie familiale
Quand tu n'en peux plus et que ton coeur est vide, sache que Je suis Dieu et que je t'aime. Quand tu souffres et que tu pleures, sache que Je suis Dieu et qu'avec toi, Je pleure. Quand dans ta détresse, tu ne vois plus l'espoir, sache que Je suis Dieu et que Je suis la porte. Crie vers Moi de tout ton coeur et Je panserai ta douleur, Tant Mon Amour pour toi est grand. Fais-moi confiance et crie à moi, Ton Sauveur. Mon nom est Jésus et Je t'aime mon enfant. Ouvre-moi ton coeur meurtri par la douleur, et j'entrerai, je panserai tes plaies, afin que tes pleurs deviennent joies éternelles, car je suis ton Dieu et je t'aime mon enfant. Crie vers Moi et Je te répondrai, par Mon Amour à la croix du Calvaire. J'ai payé le prix pour toi, parce que je t'aimais. Suis-moi, Je suis Jésus de Nazareth et jamais plus tu ne verras de ténèbres, car Je Suis la lumière qui donne ta vie éternelle. Crois seulement et fais-moi confiance Je t'aime d'un amour infini. Je promets de t'aimer toujours car, Je suis Celui qui Suis, c'est moi le Seigneur ton Dieu! Fais ce pas vers Moi et j'accomplirai la promesse éternelle faite à la Croix, la seule, par laquelle tu peux être sauvé. Je suis Celui qui sauve et qui guérit les coeurs blessés, ma main est un baume sur tes plaies, Tu marcheras avec Moi, main dans la main et jamais plus la crainte viendra assombrir ton coeur, tu seras délivré de toute frayeur parce que J'ai entendu le cri de ton coeur. Je Suis ton Dieu, Je Suis ton Sauveur, Je Suis ton Frère, Je Suis ton Ami, Suis-moi mon enfant, car je t'appelle! Mon Nom est Jésus et Je t'aime. Viens vite dans mes bras, ouvre-moi ton coeur et tu ne seras plus jamais seul dans ta douleur car c'est Moi, Jésus, qui la porterai pour toi. Amen!
Seigneur-Amour, donne-moi de célébrer la beauté de ce jour. Donne-moi de m'émerveiller devant la vie qui se répand avec largesse et qui prend de multiples formes et couleurs. Donne-moi de deviner le bourgeonnement et la floraison qui se préparent, et là sève qui, malgré la froidure, irrigue déjà sous l'écorce. Donne-moi de réaliser que chaque être vivant laisse une empreinte sur cette terre sacrée qui est, depuis son origine, le jardin où tu te tiens. Donne-moi de retracer chacun de mes pas d'enfant, de jeune et d'adulte ce long chemin où, tenant ma main, tu as marché à mes côtés. Seigneur-Amour, donne-moi de célébrer la beauté de ma vie. Donne-moi de rendre grâce à chaque instant pour mon coeur qui bat, mon esprit qui réfléchit, mes yeux qui voient et mes lèvres qui sourient. Donne-moi un coeur qui se souvient de tes largesses. Toi qui es en moi plus vivant que moi-même, toi qui m'accompagnes en ce temps d'épreuves et de maladie, donne-moi la grâce de te bénir et de te célébrer. Fais que ma volonté devienne la tienne. Fais que mes souffrances se mêlent aux tiennes afin que tout mon être trouve en toi la source de sa JOIE. Seigneur-Amour, reçois mon coeur de disciple et de bien-aimé(e). Je te l'offre pour que s'éveillent de multiples vocations de disciples et d'apôtres aux quatre coins du monde. Amen. Huguette Le Blanc prière tirée de la revue "La Barque de Pierre"
Seigneur Jésus, lorsque la tempête ébranle ma vie, facilement, je t'accuse de dormir. Mais tu sembles dormir parce que je t'ai oublié et que je ne crie plus vers toi. Apprends-moi à te prier, à te réveiller. Et tu me rappelleras que tu es là, dans le même bateau que moi, dans la même tempête. Tu es là, plus fort que vents et vagues. Réveille-toi Seigneur, et réveille ma foi, pour qu'elle chasse ma peur. Amen. Georges Madore
Il m'arrive souvent, Seigneur, de penser que je suis trop souffrant pour prier. Mes journées sont tellement remplies ! Pourtant, Seigneur... Tu ne dois pas exiger que je sois si souffrant(e) que cela. Est-ce possible que le temps me manque pour penser à toi? Tu es toujours à mes côtés, Seigneur. N'es-tu pas mon soutien, ma force et mon courage? Je veux m'habituer, Seigneur, à te parler comme à un ami, à te convier mes joies et mes peines. Voilà pourquoi, du fond de mon coeur, je veux te dire Seigneur, je t'aime Quand je serai fatigué, aide-moi à dire quand même Seigneur, je t'aime Quand j'éprouverai de la difficulté à me pardonner, je n'aurai qu'à penser à te répéter Seigneur, je t'aime Quand il fera sombre en moi, quand je ne saurai trop où tu es. Alors je t'appellerai en te disant Seigneur, je t'aime Mon devoir d'état de malade sera plus doux Et deviendra une Prière qui te diras pour moi Seigneur, je t'aime Quelle épreuve pourra m'ébranler? Quelle souffrance pourra me troubler? Si je puis toujours te redire Seigneur, je t'aime Pour les joies que tu me donnes, pour les grâces dont tu me combles, mon merci le voici : Seigneur, je t'aime Et simplement, pour te plaire, sans autre raison que cela Accepte que souvent je te dise, Seigneur, je t'aime Et quand, au soir de ma vie, tu m'inviteras chez toi, je voudrais bien, avant de partir, te dire une dernière fois ici bas Seigneur, je t'aime Et quand tu m'accueilleras pour me juger, sois indulgent, car tu le sais bien, je t'ai dit tant de fois Seigneur, je t'aime
Seigneur, dans le silence de ce jour naissant, je viens Te demander la paix, la sagesse, la force. Je veux regarder aujourd’hui le monde avec des yeux tout remplis d’amour; être patient, compréhensif, doux et sage; voir au-delà des apparences tes enfants comme Tu les vois Toi-même, et ainsi ne voir que le bien en chacun. Ferme mes oreilles à toute calomnie; garde ma langue de toute malveillance; que seules les pensées qui bénissent demeurent en mon esprit; que je sois si bienveillant et si joyeux que tous ceux qui m’approchent sentent Ta présence. Revêts-moi de Ta Beauté, Seigneur, et qu’au long de ce jour je Te révèle. Amen. (Cardinal Suenens,archevêque de Malines-Bruxelles)
Seigneur, faites de moi un instrument de votre paix! Là où il y a de la haine, que je mette l'amour. Là où il y a l'offense, que je mette le pardon. Là où il y a la discorde, que je mette l'union. Là où il y a l'erreur, que je mette la vérité. Là où il y a le doute, que je mette la foi. Là où il y a le désespoir, que je mette l'espérance. Là où il y a les ténèbres, que je mette votre lumière. Là où il y a la tristesse, que je mette la joie. Que je ne cherche pas tant À être consolé... qu'à consoler; À être compris... qu'à comprendre; À être aimé... qu'à aimer; Car C'est en donnant... qu'on reçoit; C'est en s'oubliant... qu'on trouve; C'est en pardonnant... qu'on est pardonné; C'est en mourant... qu'on ressuscite à l'éternelle vie.
Mon Dieu, voici mes enfants, il viennent de vous. Ils sont vos enfants et vous les aimez encore plus que moi. Qu'ils sentent la main de votre amour sur leurs épaules et la douceur de votre présence à leur côté. Guidez-les pour qu'ils vivent pleinement l'aventure que vous souhaitez pour eux, non pas ce que moi, je rêve pour eux. Délivrez-les du mal, et s'il pèchent, qu'ils gardent les yeux tournés vers nous. Protégez-les de l'égoïsme, de la suffisance, du découragement. Apprenez-leur à se connaître et à s'épanouir avec la personnalité que vous leur avez donnée. Qu'ils se servent de leurs qualités et de leurs richesses pour vous servir et pour bâtir un monde plus juste et plus fraternel. Apprenez-leur à vivre au cours de leur être, la rencontre avec vous et avec les autres et qu'ils vous aiment par-dessus toutes choses. Et quant à moi, Seigneur, aidez-moi à les aimer comme ils sont, à être ferme et à les corriger lorsque je le dois. Donnez-moi la patience lorsqu'ils cherchent à se comprendre, et surtout quand le front haut, ils questionnent les principes des valeurs qui m'ont fait vivre. Aidez-moi à les respecter lorsqu'ils veulent répondre à ce que vous leur adressez au plus profond de leur être. Que votre sagesse me console et me rassure et que votre providence les conseille et les soutienne quand ils partiront du foyer. Enfin, lorsque mon travail de parent sera fini, quand ils seront formés et éduqués et qu'ils voleront de leurs propres ailes, accompagnez-les. Et faites qu'alors je me tourne vers vous, le coeur en paix, avec la joie de comprendre un peu mieux votre manière de faire et de nous aimer. Ginette Loiselle
Apaise les battements de mon coeur en tranquillisant mon esprit. Calme mon allure pressée avec une vision de la portée éternelle du temps. Donne-moi, malgré la confusion de l'époque, le calme des collines immortelles. Réduis la tension de mes nerfs et de mes muscles avec la musique apaisante des rivières chantantes qui coulent dans ma mémoire. Aide-moi à profiter pleinement du pouvoir reposant et fortifiant du sommeil. Enseigne-moi l'art de prendre de petites vacances d'un instant pour admirer une fleur, causer avec un ami, flatter un chien ou lire quelques pages d'un bon livre. Fais-moi ralentir, Seigneur, et aide-moi à faire pousser mes racines en profondeur dans le sol des valeurs permanentes de la vie pour que je puisse un jour atteindre les étoiles de ma destinée finale. Auteur inconnu
Aujourd’hui, Seigneur, je veux prier pour mon évêque À chaque Eucharistie, c’est vrai, son nom est prononcé Mais je n’y fais pas toujours attention. Je pense que son travail n’est pas facile Évêque de tous. Il écoute ceux qui disent blanc, il écoute ceux qui disent noir. Il rencontre les pauvres. Il rencontre aussi les riches. Il parle avec les grands chefs mais il parle aussi avec moi Quand je le rencontre. Il doit décider sans être partisan. Il doit toujours bénir sans, pour autant, tout bénir. Il doit tout comprendre mais sans pour autant tout admettre. Je dois voir en lui la présence de Dieu mais lui-même ne doit jamais se prendre pour Dieu. Il reçoit des honneurs mais il veut rester humble. Il a du pouvoir et doit se vouloir serviteur. Décidément, Seigneur, être évêque, ce n’est pas un métier! …J’entends que tu réponds : « Non, ce n’est pas un métier….C’est une vocation et une mission ». Alors, Seigneur, puisque c’est toi qui l’as appelé, puisque c’est toi qui l’as envoyé chez nous, alors, surtout, ne l’abandonne jamais. Auteur: Louis Sintas
Tu sais, papa il y a quelque chose que je veux te dire. Quand j’avais deux mois, tu m’embrassais tous les jours. Tu étais fier de ton fiston. Mais moi, je ne pouvais t’embrasser, j’étais trop petit. Quand j’ai eu deux ans, tu jouais avec moi tous les jours, tu étais fier de m’apprendre des trucs. Je me collais sur toi et tu m’embrassais. Quand j’avais 12 ans, tu t’intéressais à tout ce que je faisais, tu m’emmenais à la patinoire du coin ou au Forum voir le grand Canadien; je grandissais aux côtés de ton expérience. Tu me donnais une petite tape dans le dos, je te regardais avec admiration. À 16 ans, je te présentais ma première blonde, tu l’aimais autant que moi. Tu étais fier de moi. Tu me serrais fort les épaules en disant que tu m’aimais, mais j’étais gêné que tu le fasses en présence de mes amis. Lors de mon mariage, à 21 ans, tu ne portais plus à terre. Fiston quittait la maison. Tu m’as embrassé à l’église, je me souviens, et j’en étais tout rouge. On a pris un coup ensemble ce soir-là et tu me rappelais ma « jeunesse ». Quand le petit est né, alors que j’avais 25 ans, tu devenais grand-papa et tu rajeunissais. Tu es retombé en enfance en recommençant tous tes trucs avec « mon fiston ». Tu m’as encore embrassé quand le petit est né, je m’en souviens, c’était à l`hôpital. Quand j’ai eu 30 ans, tu as emmené mon fiston à la patinoire du coin quand je devais travailler. Le soir, à la maison, en te regardant, tu lui as dit combien tu étais fier de moi et tu m’as embrassé. Je m’en souviens, on était dans la cuisine. Quand j’avais 35 ans, un peu marqué par l’âge, tu m’as téléphoné quand j’ai perdu mon boulot, et tu pleurais pour moi, même si tu n’y pouvais rien. Tu m’as dit, je m’en souviens, « quoi qu’il arrive, je t’aime ». Plus tard, quand tu as appris que moi, ton fils, j’allais devenir grand-papa à mon tour, faisant de toi un arrière grand-papa comblé, tu as pleuré et tu m’as sauté au cou en disant que tu m’aimais. Papa, il y a quelque chose que je veux te dire à mon tour. J’aurais dû te le dire depuis très longtemps. Tu sais papa, je t’aime. Je veux te le crier. Je veux t’embrasser. Papa, si tu n’étais pas mort la semaine dernière, je t’aurais embrassé ce soir au réveillon de Noël.
Seigneur : dans le silence de ce jour naissant Je viens te demander la paix, la sagesse, la force. Je veux regarder aujourd’hui le monde. Avec des yeux tout remplis d’amour Être patient, compréhensif, doux et sage. Voir au-delà des apparences Tes enfants comme tu les vois toi-même. Et, ainsi ne voir que le bien en chacun. Ferme mes oreilles à toute calomnie Garde ma langue de toute malveillance. Que seules les pensées qui bénissent demeurent en mon esprit. Que je sois si bienveillant et si joyeux Que tous ceux qui m’approchent sentent ta présence. Revêts-moi, de la beauté, Seigneur. Et qu’au long de ce jour je te révèle. Tricote de ton mieux Dieu nous donne la laine et les aiguilles. Il nous dit : « Tricote de ton mieux, une maille à la fois ». Une maille est une journée sur l’aiguille du temps. Dans un mois, 30 ou 31 mailles. Quelques unes sont à l’endroit; d’autres sont à l’envers. Il y aussi des mailles échappées; mais, ont peut les reprendre. Que de mailles manquées. La laine que Dieu m’a donnée, pour tricoter ma vie, Est de toutes les couleurs. Rose comme mes joies; Noire comme mes peines; Grise comme mes doutes; Verte comme mes espérances; Rouge comme mes affections; Bleue comme mes désirs; Blanche comme don total à celui qui j’aime. Seigneur, donne-moi le courage De terminer mon tricot Afin que Tu le trouves digne De l’exposition éternelle des travaux des hommes. Auteur inconnu
Si un jour j'oublie qui je suis, soyez la mémoire de mon âme et je saurai que j'existe encore, Si un jour je ne sais plus où je vais, donnez-moi votre bras pour soutenir mes pas, Si un jour je ne sais plus me nourrir, portez à mes lèvres une cuillérée de souvenirs pour que mon esprit retrouve une partie de mon histoire. Si un jour je ne sais plus boutonner ma veste, habillez-moi de soleil pour que je sente sur ma peau la chaleur de votre amour, placez un chapeau sur ma tête pour que le reste de mes pensées ne s'envole pas dans le néant. Si un jour je ne sais plus prendre soin de mon corps, avec tendresse nettoyez mes erreurs et emmitouflez-moi dans une couverture au parfum de pardon, Si un jour j'oublie qui vous êtes, ne vous affligez point; j'aimerai revoir votre sourire et vous redécouvrir cent fois. ll vous suffit d'ouvrir votre coeur pour constater que, en tout temps, votre nom est gravé au plus profond du mien. (Source: Société Alzheimer du Suroît)
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